Le bonheur est dans le peu de Francine Jay
RESUME :
Voici le livre pour vous apprendre à ranger, trier, vous alléger et vous sentir mieux. Vous découvrirez comment, vous aussi, vous pouvez cultiver un état d’esprit minimaliste et profiter des belles choses sans forcément les posséder. Vous saurez identifier la raison d’être de chaque objet, lui trouver une place, poser des limites à l’accumulation, chérir ce que vous avez et ainsi prendre soin de votre karma. Une méthode simple et libératrice.
Chronique
Un livre qui se veut un guide pour réussir ses premiers pas dans le désencombrement et le minimalisme.
La 1ère partie évoque le concept du minimalisme, et ce que cette voie de la simplicité peut apporter à celui qui l’emprunte. Plus de légèreté chez soi étant le reflet d’une plus grande légèreté en soi.
Dans la seconde partie, Francine Jay explique en détail sa méthode de désencombrement : « STEAMLINE « et en donne les clefs en 10 étapes concrètes pour rréussir son tri et cela pièce par pièce.
S : Se réinventer
T : Trier
R : Raison d’être
E : Ecrin
A : Aérer
M : Les modules
L : Les limites
I : In/out pour un objet qui rentre, un doit sortir
N : Nettoyer les espaces
E : Entretien au quotidien.
Pour finir, l’auteur élargie le sujet aux habitudes plus générales, l’art de la déconsommation et ses applications au sein d’une famille.
C’est donc un livre résolument pratique qui permet de passer à l’action en suivant la méthode, et de se sentir avancer dans son désencombrement, tout en trouvant du sens à ces actions.
Extrait choisis :
« Dans une vieille histoire bouddhiste, un homme va rendre visite à son maître zen pour qu’il le guide sur la voie de la spiritualité. Mais au lieu de l’écouter, il lui parle surtout de ses idées. Au bout d’un moment, son maître lui sert du thé. Il remplit sa tasse et continue à verser de l’eau alors qu’elle se répand sur la table. Surpris, l’homme s’exclame que sa tasse est pleine et lui demande pourquoi il continue à la servir alors que ça coule partout. Le maître lui explique que, à l’image de la tasse, il déborde d’idées et d’opinions – et qu’il ne pourra rien apprendre de plus tant que sa tasse ne sera pas vide ».
(…) « En désencombrant nos maisons, nos emplois du temps et nos esprits, nous vidons notre tasse – et nous nous donnons la possibilité de vivre, aimer, espérer, rêver et savourer de nombreux moments de joie. »
Pour approfondir le sujet :
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